Robin Foster – Where Do We Go From Here? (2011) |
Robin Foster – Where Do We Go From Here?
Location: Brest, Rennes, France
Album release: November 18, 2011
Record Label: Last Exit Records
Total Length: 55:09
Website: http://www.robinfoster.fr
Facebook: http://www.facebook.com/pages/Robin-Foster/46536990065
Tracklist:
01. Happy/Sad
02. A Collapsing Light
03. Concrete Skies
04. Pick Your God Or Devil
05. Forgiveness
06. This Is Not An Exit
07. Wait For Her
08. Left Turn
09. Deadwood
10. Black Mountain
11. Sad/Happy
ROBIN FOSTER
Robin Foster est originaire de Kendal près de Manchester. Il s'installe à la pointe du Finistère où il composent pour plusieurs formations. La marque "Hugo Boss" choisira un de ses titres comme signature musicale du parfum "Boss Bottled".
L'album est caractérisé par un toucher reconnaissable dès les premières notes, un rock cinématographique qui nous transporte vers l'imaginaire, un mélange subtil de mélodies et de guitares énergiques.
Un album à écouter religieusement bien à l'abri dans son salon ou en voiture, façon road movie. Face à une aurore bleutée ou dans la chaleur du crépuscule.
MySpace: http://www.myspace.com/robinfoster
La première chose qui vient à l'esprit lorsqu'on écoute la musique de Robin Foster, ce sont des images. La pluie qui inonde les rues de «Blade Runner». Les plaines désertiques du midwest, magnifiées par Sergio Leone. Les lumières d'une ville, la nuit, comme seul sait les filmer Michael Mann.
Cinématographiques, les chansons de Robin Foster le sont assurément. C'est cette dimension qui fait, avant tout, la différence et marque durablement l'auditeur. Impossible de résister, l'invitation au voyage, au rêve, est trop tentante.
Si le toucher particulier du guitariste anglais et sa sensibilité mélodique originale forment une «patte» reconnaissable au premier coup d'oreille, il partage cependant, avec de nombreux autres artistes, des accointances musicales assumées.
Tour à tour, on pense à Talk Talk période «Spirit of Eden», à Sigur Ros, mais également à Godspeed You ! Black Emperor ou encore à Mogwaï et Portishead. Avouons qu'en matière de famille musicale, on fait largement pire…
Il partage, avec ces éminents collègues, un goût prononcé pour les nappes envoûtantes de guitares, les envolées déchirantes et saturées, les voix qui vous laissent la gorge serrée… L'émotion à l'état brut, tout simplement.
Toujours engagé dans la quête de sa propre bande originale, il est soutenu dans cette tâche par les « Never meet your heroes », collectif de musiciens.
Biographie :
Il y a 10 ans, Robin Foster, originaire de Kendal (près de Manchester, UK), s’installe en France, à la toute pointe du Finistère, terre d’inspiration. Et d’inspiration, il en est question ici ; à travers des lieux empreints d’infini, des rencontres entre exilés, des lumières de crépuscule et des cordes de guitares à triturer.
En 2008, Robin Foster, après avoir été compositeur de plusieurs formations musicales, lance son projet solo avec la sortie de « Life is elsewhere ». Ce premier album est la concrétisation de ces années passées au « bout du monde », en Bretagne, le regard tourné vers son île natale. « Blue Lights At Dusk » s’envolera même outre-Atlantique grâce à la marque Hugo Boss qui choisit ce titre comme signature musicale du parfum Boss Bottled.
En mai 2010, le chanteur et guitariste Dave Pen (Archive, Birdpen) découvre par hasard le premier LP de Robin et le contacte ; ils se rencontrent lors d’un concert d’Archive à Quimper. Les deux anglais sympathisent ; c’est décidé Dave Pen participera à l’enregistrement du nouvel album sur lequel Robin travaillait depuis six mois intitulé « Where do we go from here ? ». Une autre rencontre rythmera la création de cet album, celle avec la chanteuse afro-canadienne Ndidi O, qui viendra apposer sa voix sur un morceau lancinant aux basses profondes et puissantes.
Ce second opus est composé de 11 morceaux dont 5 instrumentaux. Le disque, introduit par Ray Cokes, commence avec « Happy/Sad » dans une ambiance symphonique accompagnée de dizaines de guitares dont chaque texture de son a été réfléchie et torturée en studio. De l’obscurité à la lumière, il en est question dans cet album avec les titres « Concrete Skies », « Sad/Happy », de souffrance et rédemption avec « Forgiveness » et « This is not an exit ». On retrouve la vitalité dans « Deadwood » et son rythme effréné, on frétille sur le très électro « Left Turn », sans oublier la poésie de « Black Mountain ».
Un toucher reconnaissable dès les premières notes, un rock cinématographique qui nous transporte vers l’imaginaire, un mélange subtil de mélodies et de guitares énergiques, transcrit sur scène par le collectif Never Meet Your Heroes complété pour l’occasion par ses 2 invités : Dave Pen et Ndidi O.
« Where do we go from here ? » a été enregistré par Ghislain Baran au studio Black Horses à Lorient. La sortie nationale prévue le 18 novembre 2011, se fêtera aux Transmusicales de Rennes …
Un album à écouter religieusement bien à l’abri dans son salon ou en voiture façon road movie. Face à l’aurore ou au crépuscule. Au choix.
From economist to housewife, through shop floor worker and student, the world's plight is putting this question on everyone's lips: “Where do we go from here?”
Its also the title of the second album from Robin Foster, a British musician living in France.
You might not recognise his name but his music could have underscored your television pleasure as tracks from his debut "Life Is Elsewhere" have been used by Hugo Boss, Barclay's and the US show 'One Tree Hill'.
Robin's latest mix of cool/dark instrumentals and songs features the south's Dave Pen the singer from Birdpen and Archive.
“It was an instant click between us so it just naturally transpired that we we would do something together,” Robin explained. “I was working on the new album and asked him if he fancied singing on a couple of tracks. Those 2 songs soon became 4 and so we got him over to record them. Then we had a free day in the studio and wrote another on the spot, that was the best part because I'd never worked with anyone so easily before. It was very liberating, we're completely on the same wavelength.”
And as you'd expect Dave feels the same: “I liked his instrumentations and it felt natural to write lyrics to his music. Also the fact he was an Englishman working in France had a similarity with the musical projects I am involved in and we also connected as people which made working on these songs enjoyable and slightly mad.”
The most important aspect for Robin was the enthusiasm Mr Pen brought to the project: “I love Dave's voice, he throws himself into it, he really brings a whole new dimension to the songs, it stops you in your tracks.”
The songs Dave has written lyrics for, and also poured his soul crushed vocals onto, are: “A collapsing light”, “Concrete Skies”, “Forgiveness”, “Black Mountain” and the almost pop “Wait for her”.
I asked Dave if album's title alluded to a global or inner perspective: “Its a more personal statement. The songs are about guilt, loss, hope and love, not about the state of the economy and the state of our beloved planet earth. That's in another project you will hear about soon !!”
And many Birdpen fans around Europe are busting for news about that almost album finished!
However Robin takes us a little deeper into the background of the title: “It is also a personal statement regarding two very close friends who died while I was making the album, sparking that eternal question of "what's next?"... It has many connotations really, it's also a natural follow on from the first album's title "Life Is Elsewhere". This is the next step so to speak, though it's not just a negative question, it's also a hopeful one, the whole album has the recurring theme of a light in the dark. ”
For the record I think its a great listen. There is a fine balance between Robin's instrumentals and the songs he and Dave have produced: they are like pauses during an evening's conversation. And the answer to the album's question? Onwards and upwards for both artists.
Photo Benoît Pelletier